Auteur : thomas

Le Comité d’Entreprise (ou CE) : rôle et attributions

CE

Le comité d’entreprise (CE) a été créé afin de permettre aux représentants du personnels d’engager des discussions avec la direction concernant des thématiques liées principalement à l’amélioration des conditions d’emploi et de travail. En outre, le CE assure l’expression collective des salariés, notamment quant à la gestion et à l’évolution économique et financière de l’entreprise, ainsi qu’à la gestion des activités sociales et culturelles à destination des salariés.

Le comité d’entreprise (CE) sera remplacé par le comité social et économique (CSE) au plus tard le 1er janvier 2020. En effet, les dispositions applicables au CE arrêteront de produire leurs effets à partir du 1er tour des élections relatives à la nomination des membres de la délégation du personnel du CSE.

Quel est le rôle du CE ?

 

Durant une période temporaire, le comité d’entreprise est tenu d’accomplir une mission générale relative à l’information et la consultation des salariés en vue de leur assurer une expression collective. En effet, comme le souligne l’article L. 2323-1 du code du travail (ancien code pour le CE) ou L. 2312-8 (nouveau pour le CSE), la prise en compte des intérêts des travailleurs est fondamentale s’agissant des décisions prises dans le cadre de la gestion et de l’évolution de l’entreprise d’un point de vue économique et financier, de l’organisation du travail, de la formation professionnelle, et des techniques de production.

Il est important de souligner le fait que les comités des entreprises sont dépourvus d’un quelconque pouvoir de négociation. Cependant, au cours des réunions du CE, des accords portant sur l’intéressement ou la participation des salariés peuvent être contractés.

Le comité d’entreprise dispose donc d’une certaine autonomie dans le cadre de l’exercice de ses missions qui, comme a pu le rappeler la Cour de cassation, sont exercées « sans préjudice des dispositions relatives à l’expression des salariés » (Cass. Soc., 18 mars 1997).

Afin d’aider à comprendre le rôle et les missions du comité entreprise ou d’apporter des éléments quant à la gestion du CE aux membres le composant (employeur, délégation du personnel, délégué syndical), des guides pratique sont disponibles en ligne. A ce titre, le site mementoCE, dresse un descriptif relatif au fonctionnement, aux missions économiques, aux activités sociales et culturelles, ainsi qu’aux fournisseurs du comité social et économique.

Par ailleurs, ce guide pratique fournit également des informations pratiques et des dossiers relevant du droit du travail, concernant entre autres le contrat de travail, la retraite, la qualité de vie au travail, ou encore l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes.

Quelles sont les attributions économiques du CE ?

 

Le CE dispose de plusieurs attributions économiques, à savoir la consultation, le droit d’alerte et la représentation des salariés. Au travers de ces attributions, le comité de l’entreprise a pour objectif d’assurer l’expression collective des salariés vis-à-vis de leurs employeurs.

  • Représentation des salariés

Comme le souligne l’article L. 2323-1 alinéa 1er du code du travail (ancien code pour le CE) ou L. 2312-8 (nouveau pour le CSE), le comité d’entreprise a pour mission principale la représentation et l’expression collective des salariés. Cette expression collective reflète à la fois la vie économique et la vie sociale de l’entreprise et de ses salariés.

Ainsi, comme le rappelle la cour d’appel de Versailles (CA Versailles, 9ème ch., 26 juin 2014, RG n°14/00042), les comités d’entreprise ne doivent pas simplement émettre un avis mais doivent évaluer et vérifier la qualité de la volonté de la direction prise par les entreprises au nom des salariés qu’ils représentent

  • Consultation

Le comité d’entreprise peut être saisi pour des consultations annuelles obligatoires mais aussi pour des consultations ponctuelles. Ces formes de consultation permettent aux membres du comité de l’entreprise de chercher des réponses aux requêtes qu’il se pose tout en essayant d’obtenir une orientation spécifique de l’entreprise dont il dépend.

S’agissant des consultations annuelles obligatoires, le CE est consulté sur les orientations stratégiques de l’entreprise mais pas seulement. Il est également saisi pour les questions relatives à la situation économique et financière de ladite entreprise ou encore pour sa politique sociale, les conditions de travail, mais aussi l’emploi comme le rappelle l’article L. 2323-6 du code du travail (ancien code pour le CE) ou L. 2312-22 (nouveau pour le CSE).

Ces éléments de négociation sont alors généralement repris dans le cadre du bilan social.

Au-delà de cette obligation de saisine du comité de l’entreprise, l’employeur peut toujours informer et consulter le CE pour des questions relatives à l’organisation, la gestion mais aussi la marche générale de son entreprise. En ce sens, la consultation permet au comité d’entreprise de pouvoir être directement associé aux orientations d’ordre stratégiques des entreprises.

  • Droit d’alerte

Le droit d’alerte peut avoir une finalité économique comme le souligne l’article L. 2323-50 du code du travail (ancien code pour le CE) ou bien une finalité sociale telle que définit à l’article L. 2323-58 du même code (ancien code pour le CE) lorsque par exemple le CE constate un recours abusif aux CDD dans une entreprise.

Dès le 1er janvier 2020, date à laquelle la mise en place du CSE sera effective dans toutes les entreprises, ce droit d’alerte sera repris notamment en cas de prévenance de danger grave et imminent (Article L. 2312-60 du code du travail), pour des raisons économiques (Article L. 2312-63 du code du travail) mais aussi lorsqu’il y a une atteinte aux droits des personnes (Article L. 2312-59 du code du travail).

Ce droit accordé au comité des entreprises a pour ambition de lui permettre d’intervenir dès lors qu’une situation apparaît préoccupante voir même dangereuse pour l’entreprise et les salariés qu’elle comporte.

Dans ce cas, l’employeur peut être sommé de se justifier et à défaut d’explications suffisantes, le CE peut établir un rapport qui sera transmis à la fois à l’employeur concerné et à la fois au commissaire aux comptes. L’objectif de ce droit d’alerte est d’influencer les entreprises à changer de comportements et à défaut de changements, l’inspection du travail peut intervenir.

Quelles sont les activités sociales et culturelles gérées par le CE ?

 

Le code du travail liste en son article R. 2323-20 (ancien code pour le CE) ou R. 2312-35 (nouveau pour le CSE) toutes les activités sociales et culturelles établies au sein de l’entreprise afin que les salariés, anciens salariés de l’entreprise ainsi que leur famille puissent en bénéficier.

Ainsi, le comité d’entreprise est tenu d’assurer la gestion de ces diverses activités qui sont de l’ordre :

– Des institutions relatives à l’ordre éducatif ou professionnel qui sont attachées ou dépendantes de l’entreprise, à l’exemple des centres destinés à l’apprentissage et la formation professionnelle ;

– De l’organisation d’événements sportifs et du recours aux loisirs ;

– Des institutions sociales relatives à la prévoyance et l’entraide ;

– De l’optimisation du confort et du bien-être des salariés, par le biais notamment de l’aménagement de cantines, de jardins familiaux, de crèches ou encore de coopératives de consommation ;

– Des services sociaux préposés à satisfaire le bien-être du salarié au sein de l’entreprise dans laquelle il travaille, et à promouvoir les projets sociaux que le comité de l’entreprise a décidé de mettre en œuvre

– Et au service de santé au travail dans l’entreprise.

Il est important de préciser que la liste ci-dessus établie des activités sociales et culturelles n’est pas limitative. Par conséquent, en dépit du fait que certaines prestations ne pourront pas être intégrées dans l’un des groupes listés par l’article R. 2323-20 du code du travail (ancien code pour le CE) ou R. 2312-35 (nouveau pour le CSE), il demeure toute de même envisageable de les analyser comme des activités sociales et culturelles.

Le transfert du siège social

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Fixé dans les statuts au moment de la création d’une société, le siège social désigne l’adresse juridique où se situe sa direction effective. Pour une raison ou une autre, et à tout moment, le siège peut être déplacé. C’est ce que l’on appelle : un transfert de siège social. Comme tout évènement marquant de la vie d’une entreprise, la modification de siège nécessite d’accomplir quelques formalités.

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Comment se préparer au mieux pour la vente auprès d’un promoteur immobilier ?

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Si vous détenez un terrain nu ou une maison avec terrain depuis de nombreuses années et que vous souhaitez aujourd’hui le revendre, mais pas à n’importe quel prix, un promoteur immobilier pourrait éventuellement s’avérer profitable. Mais tout comme vous, dans une démarche de réaliser un profit avant tout, le promoteur analysera diverses conditions qui permettront ou non que le projet aboutisse sur votre terrain. Il est important pour vous de connaître votre bien dans les détails afin d’éviter les pièges ou certaines déconvenues.

 

1. Les conditions à prendre en compte

En disposant d’un terrain nu ou aménagé, vous savez que celui-ci peut intéresser des promoteurs immobiliers. Cette éventualité s’avèrera d’avantage intéressante plutôt que de le soumettre auprès des particuliers à travers des agences immobilières.

En partant de ce constat, il est important d’évaluer par vous-même l’environnement entourant votre propriété. En exemple, un terrain à l’abord d’un boulevard périphérique, ou non loin d’un pôle d’activité important, pourrait dans l’éventualité accueillir des nouveaux commerces. À proximité d’universités ou au sein d’une ville particulièrement dynamique et en reconstruction, avec des projets de grande ampleur, une future résidence locative pourrait y être implantée.

Ainsi, il faut vous mettre dans la tête d’un promoteur immobilier, penser sur le long terme, et y voir toutes les possibilités générant un profit réel. Et que ferait un promoteur immobilier ? Il s’informerait auprès de la mairie ou du cadastre pour savoir si le terrain est constructible. De plus, avoir pour information que la municipalité a voté un projet de Plan Local d’Urbanisme pourra être le bonus supplémentaire pour vous, en tant que vendeur.

 

2. D’éventuels risques si vous n’êtes pas préparés à toutes les éventualités

En prenant en compte les premières démarches et conditions vues précédemment, inutile d’essayer un rapport de force avec les promoteurs immobiliers de toute la région. Tout d’abord, si votre propriété est susceptible d’intéresser l’un d’entre-eux, il se manifestera avant que vous n’ayez pu le contacter. N’hésitez pas alors à demander une première estimation, en incluant les délais estimés pour la signature de l’acte de vente et les clauses qui y sont encadrées.

Avec la vente auprès d’un promoteur immobilier, rien n’est jamais définitif tant qu’il n’y a pas la signature des deux parties. Et l’offre pourrait parfois vous faire miroiter un très bel avenir, une très belle affaire, en oubliant que le promoteur peut se rétracter à tout moment.

C’est ainsi qu’une « promesse de vente » vous sera formulée et sera signée devant un notaire. Un délai de 7 jours est généralement prescrit pour une éventuelle rétractation.

La promesse de vente peut contenir une condition suspensive. Cette clause offre le temps au promoteur de démarcher pour obtenir les permis de construire, élaborer en amont le projet avec les architectes et fournisseurs de matériaux, et plus important encore, si le projet en question est en accord avec la politique environnementale de la municipalité et des normes françaises.

Il existe également la « clause de dédit ». Cette condition annule la promesse de vente à tout moment, sans besoin de renseigner quelque motif que ce soit. Cette clause peut être activée par le vendeur comme par le promoteur. Dans ce cas, comme dans toute clause inscrite sur l’acte signé devant le notaire, les sommes versées par le promoteur doivent être restituées en intégralité.

 

3. S’entourer des meilleurs experts

Vendre son bien auprès d’un promoteur immobilier n’est donc pas une mince affaire. Les actes signés regroupent de nombreuses notions juridiques. Quoi qu’il en soit, pour la simple estimation de votre propriété, l’offre transmise par le promoteur n’est-elle finalement pas en deçà de la valeur foncière actuelle ?

Tenter de négocier et de se croire plus fort ou malin que le promoteur immobilier s’avèrera un jeu dangereux. Des cabinets spécialisés, indépendants, et composés d’un réseau prioritaire, et fiable, de promoteurs immobiliers, proche de votre secteur, seront la solution la plus viable, fiable et profitable.

Toulouse Métropole est actuellement une ville avec un projet commun de créer le Grand Toulouse. La Ville Rose souhaite rayonner à nouveau sur l’ensemble du sud de la France et sur le sud de l’Europe. Ainsi, le marché immobilier est en plein boom. Les promoteurs recherchent l’ensemble des terrains constructibles, et ceux-ci se font de plus en plus rares.

En vous adressant directement aux premiers « courtiers en promotion » de la région, vendreaunpromoteur.com, vous aurez la garantie d’être accompagné lors de vos démarches. Dès lors qu’une offre vous sera transmise, les experts analyseront et vous détailleront toutes les clauses qui y sont inscrites, ainsi que l’éventualité de négocier un prix plus élevé ou dans un délai de vente adapté à votre souhait.

Via cette même agence, vous pouvez directement soumettre votre terrain à vendre aux promoteurs à l’aide d’un formulaire rapide à compléter. Cette démarche est gratuite et sans engagement.

 

Investir dans le solaire: l’investissement durable pour la planète et pour son budget

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Les panneaux solaires ont souvent été considérés comme très onéreux pour les investisseurs. Or, actuellement la tendance s’inverse, le marché de l’énergie solaire se développe de manière intensive.

Chaque investissement solaire à court ou moyen terme permet de jouer un rôle dans la préservation de notre planète. L’investissement solaire constituant un placement écologique et responsable, devient une nouvelle source de revenu pour les investisseurs.

Qu’est-ce qu’un investissement photovoltaïque ? Un investissement solaire photovoltaïque signifie qu’un particulier devient propriétaire de panneaux solaires, et sous contrat, EDF s’engage de racheter l’électricité produite.

Investir dans l’énergie solaire ouvre droit à des avantages. A ce titre, la durée de rachat de l’énergie produite par l’investissement par EDF est de 20 ans. En effet, EDF s’engage à racheter la production d’électricité, assurant ainsi à tout investisseur une stabilité de la rémunération. D’autant plus que les panneaux solaires sont garantis pendant une durée de 25 ans.
L’énergie solaire n’a pas comme seul avantage la rémunération, en outre l’investissement photovoltaique offre de réels avantages fiscaux. Autrement dit, les investisseurs bénéficient d’un remboursement par le SIE de la TVA sous 4 à 6 mois. Cet investissement est également un revenu net d’impôts dans le cadre du régime BIC accompagné de l’amortissement annuel.

L’objectif étant d’insister les particuliers à investir dans l’énergie solaire.

Il est indéniable que l’investissement photovoltaïque devient un marché à très fort potentiel. A ce titre, certains promoteurs peuvent s’assurer que les clients investissent judicieusement dans la construction et l’exploitation de centrales solaires.

Affichages réglementaires en hotellerie restauration

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Toute personne ayant pour projet l’ouverture d’un bar, d’un café, d’un restaurant, d’un hôtel, doit respecter la réglementation en vigueur et certaines obligations.

Le respect de la réglementation applicable aux débits de boissons et à la restauration s’opère notamment par voie d’affichage, afin d’être portée à la connaissance des clients. En effet, l’affichage des prix, de la provenance de la viande, l’interdiction de fumer, l’affichage pour la protection des mineurs et la répression de l’ivresse publique sont obligatoires. Cependant, afin de procéder à la vente de boisson alcoolisé, l’établissement doit, en plus, afficher son niveau de Licence. L’affichage du niveau de Licence obtenu fait parti des affichages obligatoires pour les bars et restaurants. Le niveau de Licence varie selon le type de boissons vendu. A noter que, la Licence II et la Licence III ont fusionné à compter du 1er janvier 2016.

La législation et démarches à l’obtention d’une licence 4 sont décrites de manière précise, en effet pour obtenir une licence, l’établissement doit détenir un permis d’exploitation délivré à la suite d’une formation et effectuer une déclaration préalable en mairie. Le défaut de cet affichage est sanctionné par une amende contraventionnelle de 1 500€ pour les personnes physiques et 7 500 € pour les personnes morales.

Outre les affichages obligatoires dans les hôtels, bars et restaurants, l’établissement doit tenir certains documents et registres. Cette obligation concerne notamment, le registre de sécurité incendie, le registre unique du personnel, le Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) mentionnant tous les moyens instaurés par l’établissement pour garantir l’hygiène et la sécurité alimentaire face aux divers dangers tels que les dangers microbiologiques, dangers chimiques ainsi que les dangers relatifs aux allergènes, ainsi que le Document d’Évaluation des Risques dans l’Entreprise répertoriant tous les différents risques professionnels pouvant être rencontrés au sein dudit établissement, etc.

Les litiges bancaires

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La relation établie entre la banque et le client constitue fréquemment une source d’angoisse pour ce dernier. En effet, la position de force de la banque attribuerait aux banquiers la faculté d’user de procédés injustifiés. De part cette position de force, de nombreux litiges bancaires naissent entreles deux parties, souvent au détriment du client. Ce dernier, étant vu comme la partie faible, ne connaît pas constamment ses droits et la manière dont il peut les faire valoir.

1 – L’accompagnement du client dans son recours bancaire

A partir de ce constat, le client peut se faire accompagner par des associations ou des organisations telle que Lerecours.com, afin de suivre les bons axes dans la résolution du litige. Ainsi, le client ne fait plus face seul à cette situation. Ces litiges susceptibles d’intervenir quotidiennement et de prendre une ampleur incommensurable dans la vie de chaque client, il devient nécessaire de s’entourer d’experts juridiques et financiers opérant avec un réseau d’avocats. L’objectif étant dès lors d’étudier et de traiter les dossiers de chaque client le plus soigneusement et efficacement possible.

2 – Les recours bancaires

Un recours bancaire s’opère à travers plusieurs étapes. En effet, lorsqu’un litige né entre la banque et un client, ce dernier doit, tout d’abord, contacter son conseiller afin de discuter des anomalies relevées. Si le différend opposant les deux parties persiste, dans ce cas le client devra adresser une réclamation au Service Relation Clientèle du siège social de ladite banque.

Malgré ces premières démarches, des discordes peuvent subsister. Dans ce cas, le client peut avoir recours au médiateur de la banque en question. Toutes les banques doivent être en mesure de proposer à leurs clients le recours à un médiateur. La finalité étant de de trouver une solution afin d’écarter tout recours à une procédure judiciaire. En effet, une procédure judiciaire peut être très onéreuse, et demander au client du temps et de s’investir pleinement. Afin d’aider les clients à recourir à une procédure judiciaire, Lerecours.com propose l’intervention de médiateurs professionnels indépendants afin de désamorcer un conflit.

Si le recours à l’amiable n’aboutit pas à une solution concrète satisfaisant les deux parties, la procédure judiciaire devient alors inévitable. L’avocat représentant le client doit alors s’avérer performant dans la défense de ses intérêts.Lerecours.com s’investit auprès de chaque client dans l’objectif de défendre ses intérêts en faisant appel à des avocats partenaires expérimentés.

A titre d’exemple, les services pouvant être proposés dans le cadre d’un accompagnement d’un client, par une association ou une organisation, concernent notamment les irrégularités réglementaires, c’est­à­dire les TEG/TAEG erronés, clauses abusives, défaut de conseil ou d’information, etc. Le but étant d’aider tous les emprunteurs à déployer leur délai pour agir de 5 ans à l’encontre des banques, et ce à compter de la découverte de l’anomalie. En agissant et sanctionnant les banques auteurs de comportements excessifs voire abusifs, cela permet sur le long terme de dissuader les banques de recourir à ces procédés. En effet, des sanctions dissuasives instaurées concerne la substitution du taux d’intérêt nominal par le taux d’intérêt légal et la réparation du préjudice subi par le client.

Par ailleurs, les prêts en francs suisses étant la cause de l’endettement d’une multitude d’emprunteurs en raison d’un remboursement du capital restant dû plus élevé que l’emprunt lui même, nécessitent l’intervention d’un tiers dans la relation banque­client. Il en va de même pour un client en procédure de saisie immobilière qui n’ignore la manière dont il peut agir pour faire valoir ses droits afin de contester la régularité de la saisie. L’intervention d’experts qualifiés dont l’objectif est de détecter toutes anomalies et d’appliquer les solutions s’y afférentes devient alors essentiel.

En conclusion, il convient, dès lors, d’affirmer que l’insertion d’un tiers dans la relation banque-
client en vue d’accompagner le client dans ses démarches relatives à un recours bancaire, se révèle efficace et rassurant..

De l’intérêt du Kakemono

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Nombreuses sont les entreprises désireuses de marquer les esprits de leurs visiteurs et prospects lors des salons professionnels, foires et autres rencontres professionnelles. L’aménagement des stands revêt une importance stratégique tant les visiteurs de ces lieux peuvent être enclins à ignorer les points de rencontre si ceux-ci ne sont pas attrayant. Tout l’intérêt de l’agencement du stand est là.

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Les différents statuts de société

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La société à responsabilité limitée (SARL) : C’est la forme de société la plus répandue en France et permet de créer une société grâce à un budget peu important. Elle conserve le caractère familial de l’entreprise et la responsabilité des associés est limitée au montant de leurs apports. Le gérant associé minoritaire peut bénéficier du régime des salariés cependant, certains partenaires peuvent exiger des associés qu’ils se portent personnellement caution.

La société anonyme (SA) : C’est une structure réservée aux projets de grande envergure qui nécessitent des capitaux importants. Son principal avantage est d’être perçue par les investisseurs et les banquiers comme un gage de sécurité. Cette structure est incontournable afin de faire appel public à l’épargne. Son PDG actionnaire dirigeant peut bénéficier du régime des salariés mais cette structure est assez lourde à mettre en place.

La société par action simplifiée (SAS) : Cette société offre toutes les garanties de la SA pour les investisseurs, mais la souplesse de sa structure la rapproche de la SARL. Par son absence de capital minimum, commissaires aux comptes facultatifs, très grande liberté statutaire, la SAS semble être la structure idéale pour les petits et grands projets.

Pour aller plus loin : http://lentreprise.lexpress.fr/creation-entreprise/statuts/tableau-comparatif-des-differents-statuts-sarl-sas-sa_1533264.html

Les différents contrats de travail

Les contrats de travail

Le contrat à durée indéterminée (CDI) : Il prend la forme la plus rependue des contrats de travail et est élaboré sans limite de durée. Il représente le contrat le plus protecteur pour le salarié qui peut librement démissionner en respectant un préavis de 1 à 3 mois selon son statut et son ancienneté. L’employeur ne peut rompre ce contrat de sa propre initiative, sauf pour un motif réel et sérieux, tout en ayant l’obligation de verser une compensation financière au salarié. Voir plus

Affichages obligatoire en entreprise

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Conformément au droit du travail, l’employeur se doit d’afficher un certain nombre de documents dans l’entreprise. Ces derniers peuvent différer selon la taille de l’entreprise mais, quelle que soit la taille de votre entreprise et le nombre de salariés que vous employez, vous êtes tenu d’accrocher, dans les locaux de travail des salariés les informations suivantes : Voir plus

Formalités : changement de domicile

déménagement formalités

Avant de quitter votre logement, plusieurs étapes sont à prévoir. Vous devez prendre rendez-vous avec vos fournisseurs d’énergie (électricité et gaz) afin de résilier les contrats et relever les compteurs. Cette même procédure est applicable auprès de votre fournisseur d’eau, sauf si vous habitez un logement collectif. Concernant votre téléphone, il vous est possible, sur simple appel, d’en souscrire un autre pour votre nouveau logement.

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Formalités : la création d’entreprise

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Les formalités de création d’entreprise, grâce à la mise en place des centres de formalités des entreprises (CFE), ont été considérablement simplifiées. De nos jours les formalités de création sont simples, rapides et peu coûteuses. Il est cependant nécessaire de remplir quelques formulaires et effectuer quelques démarches. Celle-ci pouvant être faites à distance, si un créateur d’entreprise rencontre des difficultés à ce stade, on peut penser qu’il aura du mal par la suite à gérer son entreprise. Voir plus

Formalités : embauche du premier salarié

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Dès lors qu’une entreprise recrute un salarié dès le démarrage de son activité, la plupart des démarches administratives sont prises en charge par le centre de formalités des entreprises (CFE). Cependant, lorsque le futur employeur démarre seul et décide par la suite d’embaucher un salarié, il se doit d’accomplir lui-même les formalités d’embauche. Ainsi, recruter un salarié est une décision importante ayant un impact sur la situation du créateur d’entreprise, devenant alors employeur. Voir plus

Formalités : la vente d’un véhicule

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Lorsque vous vendez ou donnez un véhicule, il est nécessaire que vous remettiez au nouveau propriétaire certains documents lui étant indispensables afin qu’il établisse un certificat d’immatriculation à son nom. Il est à noter que vous devez également informer la préfecture en lui transmettant la déclaration de cession. Voir plus

Rupture conventionnelle : définition

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La rupture conventionnelle permet à l’employeur et au salarié disposant d’un contrat à durée indéterminée de convenir d’un commun accord des conditions de la rupture du contrat de travail les liant. Ce mode de rupture de contrat est ouvert aux salariés employés en CDI dans le secteur privé qu’il soit protégé ou non. Le dispositif ne s’applique pas aux salariés en CDD ou en contrat temporaire, ni aux agents de la fonction publique. Voir plus

Les représentants du personnel

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Les représentants du personnel composent les institutions représentatives du personnel telles que les délégués du personnel, les délégués syndicaux et le comité d’entreprise. Ce sont des salariés d’entreprise dans lesquelles ces institutions ont été mises en place. Ils sont élus par la collectivité des salariés ou désignés par un syndicat représentatif. Le mandat leur étant attribué leur confère un statut particulier de salarié protégé par lequel l’employeur ne peut licencier un représentant du personnel sans l’autorisation expresse de l’inspecteur du travail.

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